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Elle est seule. Confondue par ses oracles, elle s'esseule.

27 septembre 2009

FINIIIIIII !!

Plus besoin du blog, j'ai enfin trouvé le moyen idéal pour écrire.
CAYCAY LES MECQUES.

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10 septembre 2009

Hypocrisie n'est pas diplomatie.

Le Lemmy dessin c'est plus intense que la JAPD quand même.
Le xav lifestyle cest vachement pas con un ptit peu aussi, même que ya certains ils peuvent aller se rhabillier tiens.
Et le vinyle des chinoiseries ça ferait super vachement mal jvais me ltrouver. Faut pas acheter n'importe quoi en vinyle. Tous les Doors ne passent pas comme sur des roulettes comme vinyles.


Téh !!

Capture_3

20 août 2009

when the music's over

C'est pendant les vacances que tu prends du bon temps... Que tu regardes par-ci par là, tes yeux se posent sur des coups d'un soir ou de deux mois. En ce qui me concerne, pas trop la tête à penser aux mecs pour l'instant. Je suis bien trop concentrée pendant l'année pour cela. Joss' s'éclate en Espagne, il revient à Arcachon voir sa belle... M'en fous.
J'm'en tape également de celui vers qui j'aurais voulu aller il n'y a pas si longtemps. Trop de complications pour tenter quoi que ce soit, et trop de fierté pour me laisser avoir, ou me laisser prendre.

Juliette lui demande de la "prendre toute entière."
Youpih lisez Shakespeare les cocottes aveuglées.

J'aime mes potes même si avec Xav je casse du sucre dans le dos de pas mal de gens. J'aime aussi ce crétin de chat maigre bourré de puces, je suis fatiguée. Je me demande si Lemmy il exite irl; je me demande si je l'ai déjà vu en vrai... Demandons nous déjà s'il existe un peu sur msn... Hé bah nan mmll.

Lunettes de soleil John Lennon. Je veux ce vinyle. Et putain je l'aurai.
Pour toi et moi réunis, ce devait être Harvest. FAIL. Alors bon, pas grave, je me tourne vers mes Doors chéris, pour les écouter seule. Seule. Jouissance d'une solitude rachitique. Oh oui une réelle jouissance. Jouïr d'être seule à en pleurer. Seule et libre. Mais libre putain. Libre. Et fatiguée.

L'âme hippie. Le délire qui plâne autour des années 60. Les seventies. So when the music's over, when the music's over yeah, when the music's over, turn off the lights.


WHEN THE MUSIC IS YOUR SPECIAL FRIEND DANCE ON FIRE AS IT INTENDS MUSIC IS YOUR ONLY FRIEND
UNTIL THE END.

 

Putain jveux pas fumer, jveux bien consommer mais j'en ai marre de fumer. Je rentre dans le moule de ceux qui ne veulent pas rentrer dans le moule. What a pity. Il me disait que si je restais avec eux, c'était pour que j'existe. Soit tu te la fais à la S, soit tu te la fais à la L. Putain mais moi jveux des deux. Je veux profiter pour après et pour l'immédiat.

Et toi Xav' même si t'es vraiment un putain de connard je te kiff bordel. Uais je l'aime le Xavier. Haha et je ne l'aime pas comme quand Nico m'a larguée Sans_titre_mm___
 

11 août 2009

Ils ont partagé le monde...

Réellement ?
Pouvoir changer, se battre contre soi-même pour faire preuve de plus d'intelligence encore ? Se cultiver, ne rien laisser au hasard, réfléchir à tout ... Comme j'aimerais oublier que je ne suis pas assez mature. Dois-je ré-hausser les exigences ? Évidemment, la plus évidente et courante raison pour laquelle personne ne se bouge est qu'il faut faire un effort. Et extrèmement difficile selon elle. Elle pense à tout, tout le temps. Elle m'impressionne. Elle est intelligente et ingurgite des données au fur et à mesure du temps qui passe. Elle est sensible. Ne pas être sujette à la sensibilité lui ôterait sa capacité artistique. Dix années après avoir débuté, elle a enfin acquis la technique. Elle avait les facilités, elle a maintenant la technique à ses côtés; même si il lui reste du chemin à parcourir. Je suis fière d'elle et de son oeuvre. Et suis désolée pour elle de ces arrogantes et cupides bonnes femmes qu'elle traîne. Boulets.

Puis-je vraiment changer encore ? Consultation once again.

Mes écrits sont plus affligeants et inintéressants les uns que les autres, et de jour en jour jcrois bien.

5 août 2009

"La fille de la deuxieme photo moi jla muge"

eye_see_you

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4 août 2009

Just leave me your stardust to remember you by

Dans un monde où la prétention est omniprésente. J'ai très peur. Pour des acteurs, la question ne se pose que si l'on tombe, quand il est trop tard. Les faux-témoins en abusent. Les spectateurs et rétractaires jugent. La sentence est posée. J'ai peur. Mes démons seront là pour s'immiscer vicieusement en moi. J'ai peur de ma faiblesse. Faiblesse due à la sensibilité ? Tout le contraire. Les faux-semblants porteurs de mauvais présages. Je pleure. J'ai peur de tomber de si haut... Je viens juste de tomber. Merci maman. Mais elle désespère.

"Mademoiselle-je-sais-tout"

J'en suis devenue complexée. Cette hypocrisie ambiante m'a amenée à mon démon indétrônable. Il en faut bien un. Elles en ont tiré la conclusion que ce n'était pas mon complexe, mais le leur. Puisqu'ils ont l'air de l'avoir cultivé en moi. L'éducation parfaite... Et pourtant ma mère a été magnifique. Mais elle sait, elle, et ses élèves font semblant. Mon beau-père en a déjà été tué. Elle commence à en souffrir. Pour une misanthrope, les cadeaux ne seront que rares. Ils ne veulent pas passer outre. Ils veulent angoisser. Il veut angoisser. Elle, accepte en silence, mais toujours désespérée, n'en revient pas. Elle est intelligente, il est cultivé.

Je voudrais qu'on arrête de la rejeter, parce qu'elle veut faire une carrière, et dans ce domaine. J'aimerais tant qu'on arrête de rejeter quelqu'un sous prétexte qu'il n'a soit-disant pas le même état d'esprit. Vieux-jeu, à la mode, branché. Si tu ne possèdes pas leurs valeurs, tu es discrédité. Tu es (mis) à l'écart. Tu ne fumes pas, tu ne bois pas, tu ne joues pas au jeu de celui qui sera le plus demandé. Tu veux vivre, tu veux t'adapter à la société actuelle sans révolutionner les éléments. Tu veux vivre, doucement. Si tu ne te rebelles pas, si tu n'as pas les gauffres, tu es hors-jeu. Tu veux évoluer en société, atteindre TES sommets, améliorer ce que tu veux voir fleurir... Tu es vu comme perdu, aveuglé, imbécile.

Tu ne plairas pas à tout le monde.

2 août 2009

PUZZLED

.putain.mmùù.putain.


De toute façon à chaque fois je me fais avoir, et puis je m'en fous. Alors à chaque fois je vais recommencer, espérant pouvoir m'accrocher à quelque chose. Et si je peux m'aggriper, je ne lâcherai pas prise. Pas si proche d'un ami pareil.
Comme si tu n'étais pas habitué. Qui fait pipi contre la tempête finit toujours par mouiller ses chaussettes. C'est un risque comme un autre pour des motivations qui te sont propres. Propres, loyales et tout à fait justifiées. Tu sais très bien que tu peux comprendre, que tu sais et analyses sans difficulté. Aurais-tu peur ? Protection comme une autre. Tu grimpes pour fuir. Tu grimpes, tu grimpes, tu grimpes. Le moment venu, le temps de l'escalade sera terminé et tu tomberas. Chûte libre. Plus de mousqueton. Je ne veux pas te voir en bas...

...Déjà que lui, ton ami, chûtera de bien assez haut comme cela. Pas la peine d'en rajouter. Et ça me crève de voir que je ne peux pas intervenir, qu'il est trop tard, que j'ai passé mon tour. Ça me crève, même si Lemmy ne veut pas en entendre parler. Putain j'ai mal pour lui et de ce que j'ai fait, de ce que je lui ai fait. J'ai mal à propos du tort et des souffrances que je lui ai vicieusement infligés. je ne veux pas avoir mal pour toi alors que je n'aurais rien pu faire pour te rattraper ou au pire, te relever, même handicapés.

31 juillet 2009

AS BEAT ASSAILANT SAYS: "I LIKE CA$H"

25 juillet 2009

On n'est pas sérieux, quand on a dix sept ans.

Hé bah putain ça fait du bien. FEELING SO GOOD.

Code de carte banquaire reçu. Carte et soldes à venir.
Vignes terminées. 520€ à venir.
Rendez-vous remise des clefs ? À venir. En attente de l'acceptation du prêt.
Affaires de Loïc récupérées. Squattage de monsieur à venir.
Maman retrouvée. Retrouvailles avec Dédé; à venir.
Délire hippie réussi. Pujols masta hippie party à venir.
Clément dans le train. Josselin dans... Euh nan chut. À revenir, mmùù.
Fringues et accessoires d'Aurore en ma possession. À ne pas revenir vers le propriétaire. Neuneuneu.
Crash Bandicoot x3 CD pour 17€. À venir.



Purée. Quel kiff. C'est pûrement et tout simplement BANDANT.


      


        I

      

On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.
        - Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
        Des cafés tapageurs aux lustres éclatants !
        - On va sous les tilleuls verts de la promenade.

      

Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !
        L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ;
        Le vent chargé de bruits - la ville n'est pas loin -
        A des parfums de vigne et des parfums de bière...

      

II

      

-Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon
        D'azur sombre, encadré d'une petite branche,
        Piqué d'une mauvaise étoile, qui se fond
        Avec de doux frissons, petite et toute blanche...

      

Nuit de juin ! Dix-sept ans ! - On se laisse griser.
        La sève est du champagne et vous monte à la tête ...
        On divague ; on se sent aux lèvres un baiser
        Qui palpite là, comme une petite bête ...

      

III

      

Le coeur fou Robinsonne à travers les romans,
        Lorsque, dans la clarté d'un pâle réverbère,
        Passe une demoiselle aux petits airs charmants,
        Sous l'ombre du faux col effrayant de son père ...

      

Et, comme elle vous trouve immensément naïf,
        Tout en faisant trotter ses petites bottines,
        Elle se tourne, alerte et d'un mouvement vif ...
        - Sur vos lèvres alors meurent les cavatines ...

      

IV

      

Vous êtes amoureux. Loué jusqu'au mois d'août.
        Vous êtes amoureux. - Vos sonnets La font rire.
        Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût.
        - Puis l'adorée, un soir, a daigné vous écrire !...

      

- Ce soir-là,... - vous rentrez aux cafés         éclatants,
        Vous demandez des bocks ou de la limonade...
        - On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
        Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.

      

Poésies. 29 septembre 70.

17 juillet 2009

Scattered dream. Far-off memory.

Part I

Elle a toujours rêvé de voler. Elle aimait les miosotis, la couleur bleue des yeux de sa mère, que je n'ai jamais connue. Mélancolie dans le ton de sa voix. Elle regardait le ciel, me confiait qu'elle avait toujours voulu être un oiseau, et s'envoler. Le ciel. Bleu.
J'étais petite. Je marchais à ses côtés le long de la promenade qui menait du restaurant à l'hôtel. Je cueillais des fleurs bleues, et tantôt des fraises des bois. La rivière passait non loin de là. Elle est morte, il reste encore le châle en cachemire bleu. Son rêve, le plus profond, le mieux gardé, au chaud dans son nid, était de voler comme un oiseau en a l'habitude.
Mon rêve quant à lui est le même, en une version modernisée. La profession de petit enfant qui nous est propre. Moi je voudrais être pompier, et moi vétérinaire, et moi institutrice.
Depuis toute petite, aucune de celles-ci. Je voulais être pilote d'avion. J'entends par là avion de chasse. Les avions de grande ligne importent peu et ne constituent qu'un interêt des moindres. Pilote de chasse. Mon rêve était tellement bien gardé qu'il m'arrivait de l'oublier moi-même. Et c'est au milieu des rangs de vignes, pendant le relevage, qu'un avion de chasse est passé au dessus de ma tête.
Mon dieu j'aurais pu m'échapper.

Part II

J'ai rêvé qu'elle mourrait. Enfin plutôt que je l'apprenais morte. Nathalie et son père me l'apprenait. Crises d'angoisse et de nerfs incontrôlables. J'étais paumée. Il m'emmenèrent la voir, elle reposait dans une boîte emplie de cendres, et de son corps. Elle était belle. Et sa sensualité ressortait, emmanait d'elle-même. Vêtue d'une simple nuisette en soie noire, ses goûts et le luxe qu'elle adorait la rendait plus belle encore. Mais je pleurais. Et j'en pleure encore. Ils partirent. J'étais seule avec elle. Je ne voulais pas qu'elle meurre. Je ne voulais pas. Je touchais sa peau si froide, son corps inanimé ne laissait rien paraître. Pas l'ombre d'un sentiment ou d'une émotion. Cela m'était insupportable. Je ne savais même pas de quoi elle était décédée.
Je l'appelai, je ne pouvais croire qu'elle était partie. je la secouais même. Et puis elle a ouvert les yeux, tout doucement. Mes pleurs changaient de raison et accompagnaient ma joie de la revoir, et d'avoir gardé espoir. Elle vit ! Oui elle vit ; elle s'était seulement endormi. Je la pris dans mes bras. J'étais heureuse. Elle se leva et me suivit.
Maman ! Maman ! Regarde ! Solweig n'est pas morte, elle était juste endormie, regarde ! Comme j'ai eu peur, regarde elle vit !

Amélie,

Non, regarde, elle n'a pas bougé. Elle est toujours étendue, immobile. Elle est morte Amélie. Regarde. Elle est bien morte.

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Elle est seule. Confondue par ses oracles, elle s'esseule.
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